Mitchell et collègues (2008) démontrent que la probabilité qu’une meute soit reproductrice diffère d’un site à l’autre, principalement en relation avec le niveau de mortalité d’origine anthropique, et ensuite en fonction du taux d’accroissement de la population.
http://www.loupfrance.fr/pdf/Bulletin-Reseau-Loup-2011-N24_reproduction;meute;USA.pdf